•  Dr Rémy Pignoux, référent en santé publique.
  •  Association Guyane Promo Santé (GPS), membre de la fédération et de l’instance régionale en éducation et promotion de la santé (IREPS). 
  • Centre hospitalier Andrée Rosemon (CHAR) : Dr Le Pommelet et Dr Sabbah, endocrinologues. 
  • Dr Brousse, médecin coordonnateur des centres délocalisés de prévention et de soins.

Malgré nos demandes, nous n’avons pas obtenu de réponses de l’ARS Guyane et du Conseil général de Guyane 

Le malathion a été pulvérisé en Guyane de novembre 2014 à mars 2015 pour « lutter contre le moustique » vecteur du chikungunya. Non autorisé en Europe, il a reçu une « dérogation ministérielle de six mois » en Guyane avant d’être suspendu en mars par les autorités locales et la ministre de la Santé à cause de ses effets « cancérogènes probables ou possibles ». Son utilisation n’a-t-elle pas été maladroite ?
Suite réservée aux abonnés…