Posées sur le toit d’une voiture, entre les pieds d’un conducteur de scooter, aux fenêtres des maisons, tenues à la main d’un cycliste… ces cages en bois où un oiseau est accroché à son perchoir sont un élément frappant du paysage urbain pour le non-Guyanais. Il peut surprendre de voir des groupes, majoritairement d’hommes, se retrouver autour de petits oiseaux aux couleurs sombres et aux becs ronds tels que la pikolèt ou le lorti. Dans la rue, en carbet, au bord du fleuve, on promène ces oiseaux réputés pour leur chant. Une pratique qui demande beaucoup de temps et de passion.
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