Antarctique – Une étude, publiée en mai 2020 dans la revue Science of The Total Environment, présente un résultat plutôt rigolo. En effet, des chercheurs danois ont montré que les manchots royaux produisent via leurs excréments des niveaux élevés de protoxyde d’azote, connu pour son rôle dans la destruction de la couche d’ozone. Ce résultat s’explique par l’alimentation des manchots, essentiellement composée de poissons et de krill qui contiennent beaucoup d’azote, mais il n’aurait pas d’impact sur le bilan énergétique global terrestre.

Appelé couramment gaz hilarant, ce gaz euphorisant a rendu ponctuellement les chercheurs « un peu timbrés » selon un communiqué de l’Université.

 

Crédit photo: Tanguy Deville