Un rapport parlementaire présenté à Paris fin septembre a exhorté la France à renforcer son action pour aider à résoudre la question des millions d’ « enfants fantômes » dans le monde, ces enfants non déclarés à leur naissance, et qui se retrouvent privés de droit.
Le rapport pointait notamment la situation à Mayotte. Pour l’une des co-rapporteure, « l’enregistrement à la naissance est le premier des droits », il est donc pri­mordial.
Les auteurs pressent à un renforcement des moyens techniques et humains dédiés à l’état civil au nom d’un « devoir d’exemplarité » sur le territoire