
19 août 2016

Tout avait commencé en 2010. Yannick Théolade mettait au point des techniques, des enchaînements de mouvements, un vocabulaire (le créole forme la base de la “ langue du djokan”), une manière de se vêtir, un rituel pour codifier ce qui allait devenir le djokan. Révélé au grand public cayennais en cette...